ou Siméon.
"Frère du Seigneur", au même titre que saint Jacques auquel il succéda à la tête de la communauté chrétienne de Jérusalem. Il organisa l'évacuation des chrétiens lors du siège de Jérusalem par les romains en 70. Il fut crucifié par les Romains qui redoutaient une recrudescence du nationalisme juif.
Selon une mauvaise tradition, il serait l'un des quatre fils que saint Joseph aurait eu d'un premier mariage, ce pourquoi il serait "parent du Seigneur". L'histoire nous dit seulement qu'il fut évêque de Jérusalem après la mort de saint Jacques en 62 et qu'il gouverna avec sagesse l'Église-Mère, jusqu'à la persécution qui le fit crucifier.
À Jérusalem, commémoraison de saint Siméon, évêque et martyr. Fils de Cléopas, selon la tradition, et proche parent du Sauveur, il fut ordonné évêque de Jérusalem après le martyre de saint Jacques, frère du Seigneur, et au temps de l'empereur Trajan, l'an 107, il fut accusé d'être un descendant du roi David, torturé et enfin mis en croix.
Martyrologe romain
évêque de Metz, honoré dans l'ancienne liturgie de ce diocèse (IVe siècle)
Ermite à Vaucé (+ 850)
Religieux cisterciens tués dans l'abbaye de Casamari (+ 1799)
Ermite (+ 1016)
Évêque de l'Église grecque-catholique ukrainienne "clandestine" (+ 1964)
Ascète en Syrie (+ 459)
évêque martyr en Corée (+ 1866)
(+ 1594)
évêque de Séleucie et ses compagnons martyrs au temps du roi Sapor (IVe siècle)
évêque de Séleucie et ses compagnons martyrs au temps du roi Sapor (IVe siècle)
(+ 1430)
(+ 1644)
Ermite (+ 1036)
(+ 1289)
(IVe siècle)
Et Jean, ermite, son compagnon (VIe siècle)
Hagiographe byzantin (Xe siècle)
Ermite orthodoxe (+ 1200)
Moine et higoumène à Constantinople (+ 1022)
Prêtre et anachorète (+ 592)
Religieux (Ier siècle)
Religieux (Ier siècle)