Frère cadet de saint Grégoire de Nazianze, il le suivit dans les grands centres culturels de son époque où il apprit, avec succès, les mathématiques, l'astronomie, la philosophie, donnant toutefois préférence à la médecine. Nommé médecin du palais impérial à Constantinople, il fut l'un des rares chrétiens à ne pas avoir été exilé par Julien l'Apostat. Sous le règne de Valens, il fut nommé questeur des finances publiques à Nicée. Ce n'est que plus tard qu'il demandera le Baptême, rendant son âme à Dieu quelque temps plus tard. Son frère, saint Grégoire le théologien, prononcera son éloge funèbre, dont nous avons encore le texte dans la Patrologie grecque.
À Nazianze en Cappadoce, l'an 369, saint Césaire, médecin, frère de saint Grégoire. Il fut intendant de Bithynie et mourut peu après son baptême, faisant des pauvres ses héritiers.
Martyrologe romain
Martyr en Campanie dans le Latium (date ?)
Et ses compagnons, martyrs sous le règne de l'empereur Dèce (+ 250)
évêque d'Arles, Père de l'Église (+ 542)
Martyr en Arménie (+ v. 309)
Évêque de Clermont (VIIe siècle)
Seize martyrs de la guerre civile espagnole (+ 1936)