ou Edwige.
Fille du comte de Bavière, elle épouse, à douze ans, le duc de Silésie, chef de la famille royale polonaise, qui réussit à refaire l'unité de la Pologne. Elle est la belle-sœur du roi de France, Philippe Auguste. Avec son mari, elle encourage la fondation des monastères dans le royaume. Mère de famille attentive auprès de ses sept enfants, elle rejoint, à la mort de son époux, sa fille Gertrude qui était abbesse cistercienne à Trebnitz en Pologne et elle y mène dans l'humilité une vie très simple.
Illustration: XIVe siècle, Henri Ier avec sa famille. Assis au centre: Henri et son épouse Edwige. Debout, de gauche à droite: Gertrude, Agnès, Henri et Boleslas. Sophie et Conrad assis au premier plan.
Mémoire de sainte Edwige, religieuse. Née en Bavière, mariée à Henri le Barbu, duc de Silésie et de Pologne, elle se dévoua avec beaucoup d'élan à venir en aide aux pauvres et construisit pour eux des hospices. Après la mort de son mari, elle passa les dernières années de sa vie, activement, au monastère de moniales cisterciennes qu'elle avait fait édifier à Trzebnicz en Silésie, et dont l'abbesse était sa fille Gertrude, et c'est là qu'elle mourut le 15 octobre 1243.
Elle est née, le 22 juillet 1647, en Bourgogne Elle devient orpheline alors qu'elle a douze ans et ses tantes qui gèrent la famille font d'elle un véritable souffre-douleur. A 24 ans, elle peut enfin réaliser sa vocation: répondre à l'amour intense de Dieu. Les grâces mystiques qui accompagnent ses épreuves culminent en 1673 dans plusieurs visions du Christ: Voici le cœur qui a tant aimé les hommes jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour. Guidée par le Saint jésuite Claude de La Colombière, elle parviendra à promouvoir le culte du Sacré-Cœur d'abord dans son monastère de la Visitation, puis dans toute l'Église Catholique latine.
Illustration: Sainte Marguerite-Marie sur le site des sanctuaires de Paray
Béatifiée d'abord par l'opinion populaire à cause de tous les miracles obtenus par son intercession, les pressions jansénistes puis la Révolution retarderont sa béatification jusqu'en 1864 puis sa canonisation en 1920. Les foules continuent d'affluer à Paray le Monial. Plusieurs Papes ont souligné l'importance de son message: l'immensité de l'Amour de Dieu révélé dans un cœur d'homme, et proposé à tous.
- vidéos: Sainte Marguerite-Marie Alacoque (diocèse de Monaco) - Marguerite-Marie, le Sacré-Coeur au cours des siécles (Sanctuaire du Sacré-Coeur de Paray-le-Monial).
Mémoire de sainte Marguerite-Marie Alacoque, vierge. Entrée à vingt-quatre ans au monastère de la Visitation à Paray-le-Monial en Bourgogne, elle avança de manière admirable sur le chemin de la perfection. Pourvue de dons mystiques, elle se préoccupa avant tout de la dévotion envers le Sacré-Cœur de Jésus, et fit beaucoup pour promouvoir son culte dans l'Église. Elle mourut le 17 octobre 1690.
Franciscain évêque de San Marco Argentano-Bisignano (+ 1955)
Ermite en Limousin (VIe siècle)
Évêque de Cahors puis ermite (+ v. 770)
Moine (+ v. 1085)
Prêtres et martyrs à Auschwitz (+ 1944)
Prêtre indien de rite Syro-Malabar, apôtre des "Intouchables" (+ 1973)
Religieuse brésilienne (+ 1989)
Abbé de Hautvilliers (+ 685)
Évêque de Comminges (+ v. 1123)
Martyre (+ v. 360)
Bergère à Brioude (Xe siècle)
(+ 709)
Martyr en Lorraine (+ 362)
Abbesse bénédictine à Wierre (VIIe siècle)
Irlandais, compagnon de saint Colomban (+ 645)
Laboureur au pays de Mirepoix (IXe siècle)
Abbé de Clairvaux (+ 1177)
Rédemptoriste (+ 1755)
Martyrs en Rouergue (IVe siècle)
Fondateur de la congrégation des Missionnaires de la Sainte-Famille (+ 1908)
Ermite en Limousin (+ v. 541)
évêque de Quimper (VIe siècle)
Centurion romain (Ier siècle)
évêque de Mayence (+ 786)
évêque d'Angers (VIIe siècle)
Fondatrice d'oeuvres au Canada (+ 1771)
Martyrs en Afrique (Ve siècle)
Poète, prêtre et écrivain espagnol (+ 1922)
évêque de Noyon (+ v. 686)
Ermite dans le diocèse de Nantes (VIIIe siècle)