Analphabète, elle perdit sa mère très jeune et eut la charge d'une nombreuse famille. A 24 ans, en 1851, elle entra comme sœur converse à l'abbaye de Saint-Marie de Franconi. Elle était un exemple de la vie monastique, et, par sa joie et son amour du travail, elle répandit autour d'elle la paix et la charité. Elle fut béatifiée en 1967 comme témoignage que la science de la vie spirituelle est plus grande que les sciences intellectuelles.
À Veroli dans le Latium, en 1922, la bienheureuse Marie-Fortunée (Anne-Félice Viti), moniale bénédictine. Pendant presque tout le cours de sa longue vie, elle s'occupa de la lingerie du monastère, attentive à observer de tout son cœur les seuls préceptes de la Règle.
Martyrologe romain