Théodoret de Cyr parle d'elle dans "L'histoire des moines de Syrie". Elle s'était construit une petite cabane de branchages près de Cyr et, dès le lever du jour, se rendait à l'église. Elle estimait que nul autre lieu n'est plus convenable pour la prière que celui qui est consacré à Dieu pour les divines liturgies. C'est pourquoi elle mettait tous ses soins à les embellir.