Confesseur. Petit-Fils de Clovis et roi de Bourgogne, il connut cette époque féroce et cruelle où la reine Frédégonde fit assassiner sa sur, son beau-frère, son mari et l'évêque Prétextat. Clotaire II fit périr Brunehaut, reine d'Austrasie, en l'attachant à un cheval au galop. Lui-même, saint Gontran fit bien quelques écarts dans la fidélité conjugale, répudia sa femme, en vint à tuer son médecin, crimes qu'il ajoutait à bien d'autres. Et puis, il se convertit, pleura ses péchés pendant le reste de sa vie, racheta ses fautes par ses grandes libéralités envers les pauvres, qui le surnommèrent "le bon roi Gontran". Vers la fin de sa vie, il entra au monastère Saint Marcel de Chalon sur Saône. Peu après sa mort, il fut proclamé saint par son peuple.
Illustration: statue représentant saint Gontran sur la partie gauche du porche d'entrée de la basilique sainte Clotilde à Paris.
À Chalon-sur-Saône, en 592, le trépas de saint Gontran, roi de Bourgogne, qui expia ses fautes dans la pénitence et la piété et multiplia les dons en faveur des pauvres, des églises et des monastères.
Ermite augustin (+ 1311)
Martyr bulgare (+ 827)
(Ve siècle)
Martyr en Turquie (date ?)
Prêtre et martyr en Angleterre (+ 1600)
Moine basilien de rite grec (+ 1236)
Diacre et martyr à Héliopolis (+ 362)
(+ 1510)
Abbé de Cîteaux (+ 1134)
Évêque de Nantes (VIe siècle)
(+ 1097)
Abbesse alsacienne (+ v. 750)
(Ve siècle)
Moine du monastère du Pélécète au Mont Olympe (VIIIe siècle)
Martyr au Laos (+ 1954)
Tertiaire franciscaine, pénitente à Tours (+ 1414)
Évêque en Pologne, fondateur (+ 1924)
Martyrs de Césarée de Palestine (+ 260)
Martyre sous la révolution française (+ 1794)
Moine et artiste de l'abbaye de Saint Gall en Suisse (+ v. 915)
Frère prêcheur (+ 1346)