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saint Gond ou Godon.
Ermite en Brie champenoise. La renommée de sa sainteté fut connue plus loin que dans cette région puisque nous trouvons son culte dans l'Orléanais: Saint Gondon-45500.
"Gond ne paraît pas avoir connu le monde et ses séductions. Il semble bien, en effet, s'être retiré tout jeune auprès de son saint oncle Wandrille, de retour de Bobbio, dans l'abbaye de Romainmôtier ou Romain-Moutier, au diocèse de Lausanne..." (source: L'association des Amis de Saint Colomban)
En l'an 544, sainte Radegonde vint rendre visite à saint Gondon. (site internet de Saint Gondon)
L'Association St-Gondon Patrimoine Historique nous communique: "Nous pensons qu'il y a confusion entre plusieurs saints. Tous les saints Gondon ne peuvent-être associé à saint Gond ou saint Godon.
Saint Gondon ermite qui vécut au VIe siècle en forêt proche du village qui porte son nom -autrefois appelé Nobiliacum.
Tout ceci est rapporté dans les chartes du cartulaire du Prieuré bénédictin de St-Gondon-sur-Loyre, écrit de l'an 866 à 1172 et conservé au archives Nationales et du Maine et Loire, lieu ou se trouvait l'abbaye mère au mont-Glonne aujourd'hui St-Florent-le-vieil.
Du VIe au VIIIe s. il y a eu plusieurs saints portant le nom de Gondon.
L'évêque de Metz (Liste des évêques de Metz sur le site diocésain), celui de Cahors etc .. d'où confusion."
Un internaute nous dit que saint Gond était un moine de l'abbaye fondée en Normandie par son oncle Saint Wandrille, où il rapporte de Rome les écrits de Saint Grégoire 1er, puis fonde un monastère en Champagne dans les marais du petit Morin (51) qui portent son nom (VIIe s.)
Il est surtout connu par le nom des marais, lieu des combats d'arrêt de l'offensive allemande de 1914.