Venu d'Espagne, il fut très vite remarqué par sa science et sa fidélité à vivre l'Évangile. Il refusa le mariage pour se consacrer à Dieu et, par la suite, au peuple de Dieu en devenant évêque du Puy, en Auvergne. Au cours d'un de ses voyages, il fut attaqué et tué par des brigands de grand chemin, qui étaient encore païens. Une source jaillit sur le lieu de sa mort et une localité le rappelle : Saint-Agrève-07320.
"Saint Agrève fut évêque du Puy au début du 7e siècle. Son action missionnaire s'est concentrée sur la zone des Boutières, à la limite de la Haute-Loire et de l'Ardèche.
Cette région, le haut du plateau du Vivarais, était jusque là restée isolée. Il y fonde une paroisse à Chinac, village qui prendra son nom : Saint-Agrève, actuellement dans le diocèse de Viviers. De là, il étend son apostolat sur toute la région. Il meurt à Chinac et y est inhumé. Plus tard ses reliques furent transférées au Puy où une église portait son nom jusqu'à la Révolution.
Ses reliques sont actuellement dans l'Église Saint Georges..."
(source: diocèse du Puy - saint Agrève - 1er février)
Dans le Velay, au VIe ou VIIe siècle, saint Agrève, évêque du Puy dont l'apostolat s'étendit jusqu'au Vivarais.
Martyrologe romain