ou Glycérie
Fille d'un officier romain en résidence en Asie Mineure, puis en Grèce à Trajanopolis, elle brisa la statue de Jupiter lors d'une fête païenne. Pour ce motif, elle fut condamné aux bêtes. Les liturgies grecque et syriaque l'honorent par un office complet.
Les actes de sainte Glycérie portent qu'elle souffrit dès la première année d'Antonin (en 161 ou 162) d'autres la mettent sous Marc Aurèle (en 177?)... Elle est surtout célèbre parmi les grecs du patriarcat de Constantinople à cause d'une huile qui sortait de son tombeau à Héraclée. (source: mémoires pour servir à l'histoire ecclésiastique des six premiers siècles, p. 142)
À Héraclée en Thrace, sainte Glycérie, martyre. (8 juillet au martyrologe romain)
Martyrologe romain