Dès son élection, il eut le souci d'établir de bonnes relations entre Rome et Constantinople, ce qui lui vaut d'être inscrit dans les diptyques liturgiques de Byzance et de recevoir, durant quinze jours, la visite de l'empereur Constant II. Pendant le même temps, il unifie la date de la célébration de Pâques en Occident, assure l'indépendance de l'Église d'Angleterre par rapport à l'influence irlandaise, ce qui donnera à cette Eglise un grand élan missionnaire pour l'évangélisation de l'Europe du Nord grâce à sa cohésion. Il consacre un moine grec, Théodose de Tarse, comme métropolitain de Canterbury. Il accroît la culture religieuse des clercs latins et orientaux vivant à Rome.
À Rome, près de Saint Pierre, en 672, la mise au tombeau de saint Vitalien, pape, qui veilla avec un zèle particulier au salut des Angles.
Martyrologe romain